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Témoignage de Foi de Mme Ouattara – Partie 1

Témoignage de Foi de Mme Ouattara

1ère partie

 

Ce témoignage est celui de Mme Ouattara, ex-musulmane, qui a eu la grâce d’être visitée par le Seigneur Jésus Christ et qui a pu avoir 15 enfants sans trompe. Le Seigneur s’est aussi servi d’elle pour opérer trois cas de résurrection. Ce témoignage est  en 4 parties à lire absolument !

 

Gloire à Jésus ! Que le seigneur vous bénisse. Nous avons passé un bon moment à l’écoute de la parole de Dieu et nous avons été bien nourris. Et je crois que cela a été votre cas aussi. Vous avez été bien nourris avec ce repas. Il convient de vous parler aussi de la foi. Je veux vous dire bien-aimé de soutenir cette parole que nous avons entendue ce matin avec la foi, avec ta foi. Nous avons tous reçu des prières ce matin. Mais pour vivre l’effectivité de la délivrance par ces prières dans nos vies, il nous faut la foi. Ceux qui ont prié pour nous ont la foi et ils ne peuvent nous communiquer que ce qu’ils ont, c’est-à-dire la foi. Que Dieu bénisse ses Serviteurs.

 

 

1/ Une maladie étrange

Je suis madame Ouattara, je suis d’origine musulmane. Je suis ivoirienne. J’ai fait l’islam parce que mes parents sont musulmans et ce sont eux qui m’y ont initiée. Ne connaissant pas le Seigneur, ma vie dans cette religion ne fut pas facile parce que j’étais malade. Le mal dont je souffrais était un mal de ventre. J’ai été traité à l’indigénat (médecine traditionnelle africaine). Il faut dire qu’à notre époque, nos parents n’aimaient pas se rendre dans les hôpitaux quand ils souffraient de maladies. Je veux parler des musulmans, des dioulas. Je ne parle pas des musulmans ou dioulas de nos jours. J’ai quitté tout cela il y a longtemps et je ne sais pas comment cela se passe aujourd’hui mais telle était la pratique à notre époque. Et c’est dans cette vie que je me suis mariée.

 

 

 2/ Mon mariage

J’ai épousé un homme que je ne connaissais pas, que je n’avais jamais vu et de qui je n’avais jamais entendu parler. C’était un mariage imposé, mais l’obéissance dans l’islam nous impose d’entrer sans broncher dans ce genre de mariage et c’est ainsi que je me suis engagée dans ce mariage. C’est le jour du mariage, après la célébration que j’ai vu pour la première fois l’homme que je venais d’épouser. Mais je crois que cela est une grâce. J’ai alors appris à l’aimer et à le servir. Et étant dans l’islam, j’occupais une grande responsabilité parmi les sœurs musulmanes. J’étais à la mosquée d’Adjamé, la grande mosquée actuelle et j’y ai servi. C’est de là-bas que je suis entrée dans le foyer de mon tonton Ouattara. Je ne sais pas comment vous appelez vos époux. Notre maman (la femme du pasteur) appelle le sien chéri. Je veux croire que vous agissez pareillement dans vos foyers, c’est une recommandation. Sara notre mère à toutes l’a fait à l’égard d’Abraham et je crois que vous pouvez y arriver. Malheureusement les femmes chrétiennes au foyer de nos jours appellent leur mari par divers noms mais il suffit qu’il y ait des mésententes ou incompréhensions dans le foyer pour qu’elles reprennent à les appeler par le nom qui figure sur leur carte d’identité.

Pour moi, je suis restée soumise et obéissante à mon époux jusqu’à ce jour. Et je suis toujours à son service. Je prie que ce soit le cas pour vous également. Que vous soyez soumises et obéissantes et cela à cause du Seigneur surtout. Cela afin que votre conjoint soit heureux à vos cotés. On ne se marie pas pour être heureux mais plutôt pour rendre celui qui est à nos côtés heureux. C’est cette vie que je vis dans mon foyer jusqu’à ce jour. Vous, vous avez souvent l’occasion de rencontrer vos futurs époux avant le mariage, d’apprendre à les aimer avant d’entrer dans le foyer. Pour moi cela fut tout autre. Ce n’est que le jour d’après la célébration, lorsque je suis entrée dans son foyer que j’ai pu échanger avec lui. On m’a dit voici ton époux et moi je l’ai salué en disant ‘’bonjour tonton’’ car dans l’islam il est déplacé d’appeler son époux par son prénom. Et moi j’ai retenu ce nom pour mon époux jusqu’à aujourd’hui.

Plus tard dans le foyer, lorsque mon époux entre du travail, j’attends qu’il s’asseye, je lui sert à boire et ensuite l’aide à se déchausser pour le mettre à l’air libre. Malheureusement, cela n’est pas toujours le cas dans les foyers chrétiens. Certaines sœurs trouvent que si leurs époux ont pu porter leurs chaussures tout seul, ils sont à même de les enlever sans aucune aide. Gloire à Jésus ! C’est comme cela que je suis restée à son service. C’est une tradition chez les femmes musulmanes. Elles sont tenues d’être au service de leurs époux même dans les périodes difficiles sans se rebeller. Tu me diras certainement que tu exerces une activité et qu’une fois à la maison ton époux a fini toutes ces choses (boire de l’eau, se débarbouiller et porter d’autres vêtements). Mais même si c’est le cas, ton rôle est de t’approcher de lui, de lui demander comment s’est passé sa journée et autres. De lui proposer à boire de l’eau etc… Jésus est vivant ! Toutes ces choses se sont passées dans ma vie païenne.

 

  1. Mes souffrances dans le mariage

Le temps a passé et un jour mon ‘’tonton’’ m’a appelée et m’a demandé ce qui n’allait pas chez moi. Je n’ai rien compris à sa question mais je suis restée là à l’écouter. Lorsqu’il a fini de parler et que je devais lui répondre, je lui ai seulement dit ‘’tonton, chez moi tout va bien’’. Il m’a donc dit que si tout allait bien, pourquoi est-ce que jusqu’à ce jour je suis restée la même c’est-à-dire sans être enceinte. J’ai alors compris que c’était une plainte qu’il m’adressait. Avant de me faire cet reproche, il m’a d’abord demandé depuis combien de temps j’étais sous son toit. J’ai calculé et j’ai reconnu que cela faisait deux ans que j’étais sous son toit. Je lui ai donc répondu avec respect et sourire que cela faisait deux ans. La bible nous dit dans Prov. 15 : 1 que ‘’une réponse douce calme la fureur, mais une parole dure excite la colère’’. Je ne connaissais pas encore le Seigneur pour savoir ces choses, mais seulement je lui ai répondu avec douceur et respect. Cette réponse l’a apaisé.

 

Malheureusement, malgré toutes les exhortations, les prières et intercessions pour les couples chrétiens dans l’église, il n’y a pas de douceur en parole, point de douces paroles. Vous avez opté pour un don, un talent : parler mal (parler avec animosité, colère, mépris etc…). Vous savez très bien exhorter dehors mais à la maison c’est le feu. Vous avez changé dans vos habitudes ce langage populaire qui dit que la charité bien ordonné commence par soi-même. Vous vous dites non, plutôt par les autres. Puisse Dieu vous en délivrer au nom de Jésus ! Alléluia ! J’ai encore dit à mon époux que si cela tardait, c’était certainement lié au problème de ventre que j’avais. Cette réponse l’a calmé et il m’a dit que si tel était le cas, il allait me faire suivre à nouveau des soins. Les soins dont il était question étaient de retourner à nouveau chez les marabouts et féticheurs. Nous avons suivi cela sans succès et nous ne savions toujours pas l’origine du mal. La joie a commencé a manqué petit à petit dans le foyer. Peut-être était-il patient mais les questions ont commencé à pleuvoir de part et d’autres. La belle famille, les parents, les amis l’interrogeaient, mais il restait sans réponse à leur donner. C’est à moi alors qu’il pouvait poser ces questions pour espérer avoir des réponses concrètes. Bien-aimée, si ton époux entre un jour à la maison et qu’il t’adresse des paroles dures, ne te met pas en colère mais supporte cela avec patience. Je veux vous dire qu’il ne peut agir de la sorte avec la femme d’autrui si ce n’est qu’avec vous qui êtes une aide dans le foyer pour lui.

 

Nous sommes restés dans ces soins traditionnels pendant deux ans et cela nous a conduits dans notre quatrième année de mariage. Après cela, mon époux a jugé bon de me conduire à l’hôpital pour recevoir d’autres soins. Nous avons rencontré un premier médecin. Il m’a posé des questions concernant les menstrues des femmes, je ne savais quoi répondre. Il m’a dit ‘’ce que les femmes ont chaque mois là, quand ça vient c’est comment ?’’ Je n’ai su que répondre. Je lui ai même demandé de savoir si je devais en avoir aussi. Il m’a répondu oui. Dans ma famille, ces sujets étaient tabous et mes grandes sœurs ne m’ont jamais parlé de ces choses. Si j’avais été à l’école, je l’aurais certainement su mais je n’ai pas pu être scolarisé. C’est une grâce, je crois. Je le dis parce que si j’avais été scolarisé et pleine de connaissances, cela ne m’aurait peut-être pas permis d’accepter le Seigneur Jésus. Le fait même de me voir lire et écrire et me tenir devant vous pour pouvoir m’exprimer ainsi est une grâce du Seigneur. Le premier médecin m’a alors expliqué cela et a suggéré que nous fassions des examens pour voir de plus près le mal. Nous avons fait des examens, des échographies.

 

Après cela le médecin nous dit que chaque femme devrait avoir normalement deux trompes. Mais il pouvait arriver des cas où des femmes n’avaient qu’une seule soit par opération ou par maladie. Cependant, si cette seule trompe se portait bien, elle pouvait avoir des enfants. Mais dans mon cas, il a été constaté que je n’avais aucune trompe. Il nous dit que cela dépassait ses compétences et qu’il ne connaissait pas de médicaments à même de faire pousser des trompes. Une fois à la maison, il a dit que certainement ce médecin ne connaissait pas bien son travail. Il m’a donc conduit chez d’autres médecins. Nous en avons vu un second puis un troisième. Ce fut les mêmes résultats. En sortant des locaux du troisième médecin il m’a demandé de quelle planète je venais pour ne pas avoir de trompe en tant que femme. Je lui ai juste répondu ‘’je ne sais pas tonton’’. Une fois à la maison, il est entré en colère. Il était très furieux. Je crois qu’il a raison.

 

Cela fait plus de trois ans qu’il rempli convenablement son devoir d’époux sans avoir d’enfant. Il ne voulait pas de lui-même me renvoyer du foyer mais il a commencé à agir avec beaucoup de méchancetés et malices à mon égard pour me pousser à la colère et une fois en colère, je quitterais de moi-même le foyer. Il a commencé par ne plus répondre à mes salutations. Le matin, avant qu’il ne parte au boulot, je lui adressais une salutation. Et il me demandait si me saluer était une dette pour lui. Le soir à son retour du boulot, c’était la même chose. Mais je continuais toujours de le saluer sans me laisser décourager ou énerver. Car cela était mon devoir en tant que femme de le faire. Bien-aimée sœur, peut-être qu’à la maison ton époux ne t’adresse plus la salutation, il faut toi, continuer à le faire. Peut-être n’avais-tu jamais appris à le faire ; au sortir d’ici de ce programme apprends à le faire. Alléluia ! Ayant vu que cela ne donnait pas les résultats escomptés, il est passé à autre chose.

 

Bien que ne répondant pas à mes salutations, il continuait de prendre les repas que je lui présentais jusqu’à ce qu’un jour il renverse à la poubelle le repas que je venais de lui faire. Après l’avoir fait, il est venu vers moi dans le salon où je l’attendais et m’a demandé ce que je pensais du fait qu’il ait renversé ma nourriture à la poubelle. Si je ne lui donnais pas de réponse, il dirait que je lui manque de respect et si je répondais dans la colère, le prétexte de femme insoumise était tout trouvé pour me vider de son foyer. Il était déjà sur les nerfs. J’ai alors trouvé une réponse avec respect et le sourire aux lèvres. Il fallait sourire pour le détendre parce qu’il était déjà énervé. Je lui ai donc dit qu’il avait bien fait d’agir ainsi et que certainement que le repas n’était pas bon. Alléluia ! Cette réponse l’a brisé. Quel aurait été l’attitude de ma sœur chrétienne ? Elle aurait certainement utilisé son talent d’aspic à la bouche, serait entrée dans des calculs concernant l’amour et la douleur consentis pour faire ce repas. Elle aurait demandé à son époux pourquoi est-ce qu’il avait renversé le repas que j’avais fait avec tant de souffrance et d’amour. Après cela, il a commencé a cassé toutes les assiettes de la maison. Et chaque fois, il prenait le soin de me demander ce que j’en pensais. Et à moi de lui répondre qu’il avait bien agi. Et que ces assiettes avaient longtemps duré dans la maison et qu’il fallait que je les change. Chaque fois, mon attitude dans toutes ses provocations le confondait. Après cela, il a jugé bon de venir avec des femmes à la maison et avoir des relations avec elles sous mon nez. Je n’entrerai pas ici trop dans les détails.

 

Quand il arrivait avec une femme, il prenait le soin de faire la présentation. Je dirai sur ce coup là qu’il est néanmoins gentil. Il dit à sa copine d’un jour que je suis sa servante. Et quand à moi, il n’osait même plus prononcer du fait de sa colère mon prénom (Maï diminutif de MaÏmouna). Il m’appelait désormais ‘’oh oh’’. Et moi je lui répondais toujours avec amour. Puis il me dit voici ma chérie. Ensuite, ils vont tous deux dans la chambre, notre chambre conjugale pendant qu’il y avait plusieurs chambres dans la maison. Et une fois là-bas, pendant que mon époux Ouattara traversait la frontière (couchait avec sa copine d’un soir), il demandait à ce que j’apporte de l’eau à sa copine afin qu’elle se désaltère. Ce que je me mettais à exécuter aussitôt, puis retournais attendre dans le salon au cas où ils auraient encore besoin de mes services. Je disais dans mon cœur, au moins je suis utile à quelque chose maintenant. Est-ce qu’on peut se mettre en colère pour de telles actions de son époux ?

Et après cela mon époux a trouvé que cela n’était pas suffisant. Un jour ma belle-maman est venue à la maison et m’a fait remarquer que ce sont eux qui m’ont choisie pour être l’épouse de leur fils. Et comme je m’obstinais à rester au foyer malgré toutes ces choses, elle allait m’en faire voir de  toutes les couleurs. Un jour, elle m’a demandé de lui faire du to (nourriture du nord de la Côte d’Ivoire). Pour le faire, surtout quand c’est le to blanc, nous faisions d’abord une première bouillie. Comme nous étions toutes deux dans la cuisine, elle m’a donné dos, a pris un gobelet de cette bouillie et l’a renversé sur ma personne. Ce sont les traces de cet accident qui sont encore visibles sur mon épaule et mon dos. Je crois que cette maman m’aimait et voulais que je fasse des enfants à son fils. Chose que je n’arrivais jusque là  à satisfaire du fait de mon mal. C’était donc pour elle le seul moyen de manifester à mon égard sa colère. Je n’ai pas pris cet acte en mal. C’est ma voisine qui ayant entendu mes cris est venue et m’a conduite à l’hôpital pour que je reçoive les soins. Elle a voulu que je porte plainte à la gendarmerie contre ma belle maman, mais j’ai refusé d’agir ainsi. Je lui ai dit que cette dame m’aimait mais que j’avais moi, un problème. Et que c’est ce qui l’amenait à agir de la sorte à mon égard. Une fois à l’hôpital, les médecins m’ont dit que c’était des brûlures de troisième degré. On m’a attaché l’épaule avec le cou pour que cela puisse tenir. Heureusement, grâce à Dieu qu’il y avait dans le ciel le médecin par excellence, Jésus-Christ.

Après toutes ces choses, ils ont jugé bon de me laisser seule dans le foyer. Mon époux est parti me laissant toute seule au foyer. Or, Dieu  voyait toutes ces choses que je vivais. Seulement, il attendait le jour de mon jour. Car chaque chose a son temps devant Dieu. Lorsqu’ils m’ont abandonnée toute seule à la maison, j’étais livrée  chaque jour aux railleries  et moqueries de mon voisinage, mes parents, amis et autres. Tous parlaient sur ma condition. Personne ne s’approchait de moi pour savoir quoi que ce soit. On me traitait de sorcière, d’avoir un ventre en béton. D’autres disaient que c’est parce que j’étais courte que je n’arrivais pas à avoir des enfants. On m’avait même trouvé un nom en langue malinké qui disait ” tchè tè mousso tè’’. Ce qui signifie ‘’ni homme ni femme’’. Mon devoir était d’accepter et de supporter toutes ces choses. Ce n’était pas leur faute et je ne leur en voulais pas pour toutes ces injures. C’est dans toute cette souffrance, abandonnée, méprisée et rejetée par tous, que Dieu va intervenir dans ma vie.

 

3/ Ma rencontre avec le Seigneur Jésus-Christ

Etant enfermée dans la maison, je n’arrivais pas à dormir. Un jour je me suis endormie et pendant mon sommeil j’ai entendu une voix. J’ai cru que c’était un rêve. Cette voix s’est faite entendre et disait ‘’ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu à ton secours’’. Cette voix a insisté jusqu’à ce que je me réveille. Et lorsque je me suis réveillée, ce n’était pas un rêve. Ma chambre était pleine de lumière. Cette lumière n’avait rien à avoir avec celles que donnent les ampoules. Je me suis assise et il y avait dans cette lumière une personne qui a, à nouveau pris la parole et dit : ‘’ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu à ton secours’’. J’étais terrifiée et j’ai demandé à celui qui me parlait qui il était. Il a repris la parole une deuxième fois en répétant les mêmes paroles. ‘’Ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu te délivrer’’ Puis il ajouta cette fois ci : ‘’Je suis l’Eternel ton Dieu’’.

Dans l’islam nous ne connaissons pas toutes ces choses. Tout ce que nous connaissons, c’est Allah ou Mahomet. Et le nom de Mahomet est tellement honoré qu’on n’a peur de le prononcer en vain ou qu’on ne le prononce pratiquement pas. Cela n’est guère le cas dans le milieu chrétien, où l’on prononce le nom du Seigneur en vain pour des futilités. Nous sommes en chemin pour un lieu et nos pieds heurtent une pierre, on s’écrie Jésus ! Une pierre nous heurte, encore Jésus ! Nous sommes assis devant notre télévision entrain suivre un match de football, nous prononçons là encore le nom de Jésus. Cependant, notre Dieu voudrait que nous l’employions pour des causes utiles et édifiantes. Il nous dit invoque moi au jour de ta détresse et je te répondrai.

 

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Que le Seigneur vous bénisse abondamment !

 

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