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Témoignage de Foi de Mme Ouattara – Partie 2

Témoignage de Foi de Mme Ouattara

2éme partie

 

Ce témoignage est celui de Mme Ouattara, ex-musulmane, qui a eu la grâce d’être visitée par le Seigneur Jésus Christ et qui a pu avoir 15 enfants sans trompe. Le Seigneur s’est aussi servi d’elle pour opérer trois cas de résurrection. Ce témoignage est  en 4 parties à lire absolument !

 

3/ Ma rencontre avec le Seigneur Jésus-Christ (suite)

Apprenons frères et sœurs à honorer ce beau et grand nom au dessus de tout nom. Il me parla à nouveau d’une voix très douce. Et cette voix me pénétrait profondément le cœur. Continuant dans mes pleurs, je lui ai demandé qui il était et que je ne le connaissais pas. Gloire à Dieu ! Cette scène s’est produite trois fois et c’est lors de la deuxième expérience qu’il a donné la précision sur sa personne. J’étais terrifiée et j’ai décidé de quitter la maison car je pensais que c’était l’esprit d’un des nombreux marabouts que nous avions, mon époux et moi consulté pour mon problème de santé qui venait perturber et troubler mes nuits. J’ai dit après la deuxième fois que si cela se répétait, je quitterais la maison. J’avais même fait mes bagages. Cependant je ne savais où aller, vers qui me tourner pour expliquer ces évènements étranges que je vivais. Le troisième jour, la même personne est revenue et m’a encore parlé. Cette fois, il y avait un changement dans mon attitude. J’ai résolu en mon cœur de voir la personne qui me parlait pour être à même de donner des réponses concrètes aux uns et aux autres lorsqu’on me questionnerait après que j’ai eu à leur expliquer ce qui m’était arrivé. J’ai voulu voir son visage dans un premier temps, mais en vain. La lumière qui émanait de lui était tellement forte que je ne pouvais y parvenir. J’ai ensuite essayé de voir ses pieds. Là encore, ce fut peine perdue. La lumière m’empêchait toujours d’arriver à mes fins. Ce que je remarquais alors était que cette personne était vêtue d’une longue robe blanche et très fine. Je me suis dit en moi-même ‘’n’a-t-il point de membres cet homme qui me parle ?’’.

 

Je continuais toujours dans mes pleurs. Il prit la parole et me dit : ‘’ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu à ton secours. Je suis l’Eternel des armées. Dis Jésus ! Jésus ! Jésus !’’ Il prononça ce nom trois fois.  J’ai alors dit en moi-même que s’il me demandait de prononcer ce nom, certainement cela était son nom. J’ai donc résolu de le faire dans l’espoir de le voir me quitter et avoir la paix. J’ai essayé de prononcer ce nom sans y parvenir dans un premier temps. Je crois que ce Nom n’est pas un nom vain. Le prononcer simplement a une très grande portée spirituelle. J’ai essayé une fois de plus de voir son visage sans y parvenir à nouveau. Tout ce que j’ai pu voir c’était une couronne et du sang qui coulait de toutes parts. J’ai alors dit monsieur s’il vous plait, je ne vous connais pas et voici vous arrivez chez moi en sang. J’ai déjà assez de problèmes pour pouvoir porter sur moi les vôtres.

 

C’est à la suite de cela qu’il me demanda de prononcer le nom Jésus ! Je l’ai alors fait et voici un vent doux et léger que je ne saurais qualifier a rempli toute  ma chambre. Ce vent, cette fraicheur était plus douce que celle d’un climatiseur. Elle m’a touchée et j’ai sentie un poids quitter ma personne. Je me suis senti tellement légère d’un coup que j’ai même failli tomber. Je me suis alors agrippée sur le bord du lit et ai continué à prononcer le nom de Jésus. En lieu et place de l’angoisse et des pleurs, j’ai ressenti une joie que je n’avais jusque là jamais ressentie dans ma vie au service de l’islam. Alléluia, gloire à Jésus ! Je suis venu vous porter un encouragement et vous dire que toute rencontre personnelle avec Jésus transforme toutes les circonstances de notre vie. Mes pleurs et angoisses venaient d’être changés en joie. J’ai alors résolu d’ouvrir les yeux et de regarder ce qui se passait. Lorsque je l’ai fait, il n’y avait plus de lumière dans ma chambre et cet homme avait disparu. J’ai alors songé profondément à connaitre cet homme du nom de Jésus dont la présence dans ma chambre n’a fait qu’apporter la joie dans mon cœur. J’ai pris mes affaires et suis partie de la maison au matin. En chemin, j’ai encore entendu la voix de cet homme qui m’avait à trois reprises visité dans ma chambre et adressé des paroles. Je l’ai reconnue, cette douce voix. La bible dit que les brebis de l’Eternel le connaissent et ils entendent sa voix. Entends-tu la voix de ton Dieu bien-aimé ? À cause des soucis, des inquiétudes et autres, nous n’arrivons souvent pas à l’entendre. Nous sommes enseignés, nous recevons toutes les exhortations possibles mais avons toujours du mal à entendre la voix de notre Seigneur. Que Dieu fasse tomber tout ce qui nous empêche d’entendre sa douce voix au nom de Jésus. Cette fois-ci quand je l’ai entendu, j’ai répondu oui. Il m’a dit, lève la tête et regarde, il y a une femme qui arrive, demande lui qui est Jésus. Et il ajouta ne crains pas. Puis une autre voix s’est fait ensuite entendre et m’a mis en garde contre cette recommandation en me faisant croire que je serais si frappée de folie. J’étais entre ces deux voix. J’ai dit en mon cœur que j’avais déjà assez de problèmes. A quoi bon donc de craindre la folie ? Qu’il advienne ce qui adviendra. J’ai alors décidé de parler à cette dame et lui faire cette demande. J’ai dit à la dame que je demande après un homme. Je ne l’ai jamais connu. Je lui ai dit que ce dernier est venu trois fois à la maison, dans ma chambre sans rien casser. Elle m’a demandé son nom. Je lui ai dit qu’il s’appelle Jésus. Elle a aussitôt levé les mains vers les cieux et a béni Dieu.

 

Ensuite, elle m’a prise dans ses bras, m’a embrassée et m’a couverte de bises. Cette femme m’a dit alors qu’elle le connaissait et savait où il habitait. Elle m’a conduit chez son pasteur. C’était un homme plein d’amour. Une fois chez son pasteur, elle s’est hâtée de les appeler, lui et son épouse. Le pasteur est alors sorti. Il l’a saluée, l’a embrassée et l’a couverte de bises. Il a agit pareillement à mon égard. Sa femme en a aussi fait de même. J’étais toute surprise. Jamais dans ma vie je n’avais été accueillie avec tant d’amour et de chaleur. Dans l’islam, ces choses sont proscrites. Même les simples salutations sont interdites parce que disent-ils cela risque de détruire leurs pratiques fétichistes. Cet accueil m’a rassuré et m’a donné pleine envie de me confier à lui. La dame m’a demandé de rendre le témoignage à nouveau à son pasteur. Je lui ai alors dit tout ce que j’avais vécu. Ensuite, j’ai demandé au pasteur où se trouvait Jésus. C’était là ce qui m’importait le plus. L’homme de Dieu m’a alors dit qu’il habitait chez lui mais qu’il recevait seulement trois jours dans la semaine. Les mardis et jeudis à 18h00 et les dimanches à partir de 08h00. L’homme de Dieu était sage. Il savait qu’en me donnant autre réponse que ce que j’attendais, cela pouvait me conduire au doute. C’est par sagesse qu’il m’a donné ces jours qui sont en réalité les jours de culte de cette église sans que je ne m’en rende compte. Nous étions à un vendredi. J’ai alors résolu d’être là le mardi qui suivrait comme le lieu se trouvait non loin de la maison que j’habitais. Je suis venu au culte le mardi suivant comme prévu. Pendant que le Serviteur de Dieu prêchait la parole, il parlait sans le savoir de toutes les souffrances que je traversais. Cette prédication me touchait directement. J’ai dit en moi-même que personne ne connaissait mon problème dans cette assemblée. Ni la dame rencontrée lors de ma fuite encore moins le pasteur. Je me suis consolée en disant que c’est certainement Jésus qui étant venu dans ma chambre et sachant toutes ces choses qui le leur a fait connaitre. J’ai alors accepté cette prédication dans mon cœur. Ce jour là, l’appel à accepter Jésus comme Seigneur et Sauveur c’est-à-dire à devenir chrétien a été lancé et c’est ainsi que je me suis donnée au Seigneur. Après ma conversion, tout a commencé a changé dans ma vie. J’ai commencé par reprendre du poids et a avoir de l’embonpoint. J’avais reçu le pardon de mes péchés et la paix était dans mon cœur et je vivais tranquillement ma foi. Chaque jour de culte, j’étais présente. Et, ne sachant ni lire, ni écrire, ni parler le français, je ne savais quel sujet avait été donné pour lequel nous devions prier. Et donc, lorsque nous étions en prière et que tout le monde se disposait à cela, moi je n’avais qu’un seul sujet. Que l’évangile que j’ai reçu s’étende à mes proches, particulièrement à mon mari. Chaque jour donc je priais pour mon époux.  Je faisais chaque fois cette prière : «mon père à moi, je ne te connaissais pas et tu t’es révélé à moi. Regarde comme tu es bon, je ne veux pas te connaitre tout seul. Le cœur de mon mari est pour toi comme moteur. Incline-le vers toi. Fais le revenir afin qu’il te découvre également ». C’était cela ma prière de tous les jours.

Les jours ont passé, j’ai persévéré dans la prière. Dieu tardait à m’exaucer. Mais j’ai été patiente et j’ai persévéré. Je crois que Dieu l’a fait ainsi pour m’amener à la patience et à la persévérance dans la prière. Bien-aimé, toi qui m’écoutes, ce message est pour toi. Il est vrai que tu pries et que l’exaucement tarde. Dieu veut te faire connaitre la persévérance et la patience dans la prière. Alors ne te décourage pas quand l’exaucement à ta prière tarde.  Un jour mon mari est revenu à la maison prendre un document. Il avait une autre maison et une autre femme. Ce jour là, lorsqu’il est arrivé j’ai oublié qu’il était en conflit avec moi. Je lui ai alors adressé la salutation de bienvenue. C’est lorsqu’il m’a répondu comme d’habitude ‘’c’est crédit’ que je m’en suis rendu compte. J’ai alors répondu non. Je le suivais partout pendant qu’il était entrain de chercher son document dans le but de lui annoncer ce qui s’était passé dans ma vie en son absence. Lorsque je l’appelle, il me refoule. Et ainsi de suite, J’ai donc gardé mon calme et ai patienté un instant. A un moment favorable, je lui ai dit : « tonton (c’est ainsi que j’appelais mon mari), lorsque tu n’étais pas là, Jésus est venu ici dans la maison. Je l’ai accepté comme Seigneur et je suis devenu chrétienne ». Il s’est arrêté un instant, m’a fixée et m’a demandé de lui répéter ce que je venais de dire. Avec la joie et le sourire, j’ai reprit la parole et lui ai dit la même parole. Il est alors entré dans la chambre, est ressorti, m’a attrapée et m’a très bien « chicotée ». Et cela était très délicieux. C’était pour une bonne cause que je recevais tout cela. Pendant qu’il me frappait, je n’avais qu’un seul mot à la bouche. C’était alléluia. Je n’avais personne pour m’enseigner la parole de Dieu en langue malinké et le seul mot en dehors du dioula que je parlais était alléluîa ! Quand sa main me frappait, je criais alléluîa, quand son pied en faisait de même je criais encore alléluîa ! Soudain, il a arrêté de me battre. J’ai alors retiré mes bras qui me servaient à protéger mon visage et je l’ai regardé. Il était là, il me fixait. J’ai alors crié alléluîa ! Et il a répondu safroulaye ! koutoubou, c’est quoi ça. Mon époux est parti et il m’a donné rendez-vous un autre jour.

Un jour, il est revenu à la maison, il était revenu simplement pour me persécuter et non pour reprendre sa place dans le foyer. Il m’a alors demandé si je savais pourquoi il était de retour. Je lui ai répondu que non. Il a m’a donc dit que c’était pour me battre jusqu’à ce que je renonce à mon ‘’alléluîa’’, c’est-à-dire jusqu’à ce que je renonce à Jésus. J’ai dit d’accord tonton, bonne arrivée. Il a vraiment mis en application ce qu’il venait de me dire. Pendant une semaine, il l’a fait. C’est lui plus tard qui est allé annoncer la ‘’bonne nouvelle’’ à nos familles respectives. Il leur a dit ceci : « votre fille a rétrogradé, elle est devenu cafri (terme qui désigne les non-musulmans dans la communauté musulmane). Elle est entrée dans quelque chose qui s’appelle ‘’alléluia’’. La famille est donc venue. Elle m’a fait des palabres. Après quoi, ils ont fait venir une igname. Ils l’ont coupé en deux. Ils ont pris une part et sont rentrés chez eux. Chez nous, lorsque cela est fait, la famille organise vos funérailles et considère que pour eux vous n’existez plus, que vous êtes mort. Mon époux de son coté est retourné où il était puisque c’était juste pour cela qu’il était venu. Je me  suis à nouveau retrouvé seule. J’ai encore persévéré. Cela a duré 8 ans. Et je continuais toujours de prier mon Dieu. Je priais pour mon époux qui a quitté le foyer, pour ma belle maman qui m’avait brûlée, pour mes parents qui m’ont abandonnée.

 

4/ Le prix du pardon, l’obéissance, la soumission, la patience, la persévérance et la douceur

  1. Première grossesse sans trompes

Huit ans après, mon époux est revenu à la maison avec tous ses bagages. Je lui dis bonne arrivée et il m’a répondu merci. J’ai réalisé que le Seigneur venait d’exaucer ma prière. Jésus venait de monter dans ma barque (Luc 5 :1-5). Bien-aimé, tu as une barque. Laisse Jésus monter dans cette barque et tu verras sa gloire se manifester, pour qu’il calme la tempête qui se trouve dans ta vie. Mon époux était de retour à la maison. Il ne me persécutait plus. Seulement, il m’a demandé de ne pas prier en sa présence. Lorsqu’il était à la maison et que je devais prier, je le faisais dans mon cœur. Un jour, un an après la venue de mon époux, je suis entrée dans ma chambre pour prier. J’ai voulu m’incliner et Dieu m’a fait entendre sa voix. Il m’a dit ceci : « ma fille, réjouis toi car tu portes un enfant dans ton sein et tu attends un enfant ». Je n’ai pas douté,  j’ai dit mon père à moi, je porte un enfant. Puis je me suis mise à le louer selon sa recommandation. Je suis sortie de la chambre et j’ai trouvé mon époux dans le salon. Je lui ai donc annoncé la bonne nouvelle. Mais il ne m’a pas écouté. Il n’était même pas disposé à m’écouter. Je n’ai rien dit et j’ai gardé la foi en cette parole de mon Dieu dans mon cœur. Un jour il m’a appelé et m’a fait cette demande : « l’autre jour, tu es venue m’annoncer une nouvelle. De quoi s’agit-il ? ».

Bien-aimé, il faut cultiver en vous la patience en toute chose. Les grâces de Dieu ne s’obtiennent pas facilement. Il y a un prix à payer. Jésus a payé le prix pour le rachat de nos âmes. Nous avons à notre tour, une participation à apporter. Il y a le prix à payer pour entrer dans toutes les grâces. Ce sont la patience et la persévérance dans la prière et aussi la douceur. Ils font partie des fruits du Saint-Esprit. Il me demanda ce que je voulais lui annoncer. Je lui ai donc dit que j’attendais un enfant. Il s’est donc fâché. Il m’a dit ceci : « ton Dieu ne sait il pas que tu ne peux concevoir des enfants ?et même si lui il ne le savait pas, ne le sais-tu pas toi qui me parles ? ». J’ai dit tonton, Dieu l’a dit et moi je crois simplement. Il m’a donc dit qu’il allait me conduire à l’hôpital. Mais malheur à moi si l’on découvre une autre maladie que celle que nous savons déjà. Cette fois il me promet de me vider des lieux. J’étais là et je l’écoutais. J’attendais toujours. Il m’a donc demandé ce que je faisais encore en sa présence. Je lui ai donc dit ceci : « tonton, tu m’as dit que si ce n’était pas une grossesse et que c’était une autre maladie tu me viderais. Que se passera t-il si c’était une grossesse ? C’est ce que j’attends de savoir». Il m’a regardée et m’a dit que je commençais à devenir intelligente. Je ne l’ai pas pris en mal mais j’ai plutôt glorifié Dieu de ce que mon époux rendait témoignage de l’intelligence qui venait de m’habiter. C’était une très bonne remarque de sa part. Bien-aimé, retenez qu’il n’y a point de sagesse en dehors de Christ. Il m’a alors dit que si malgré mon état, s’il s’avérait que c’était une grossesse, mon Dieu deviendrait son Dieu. Et qu’il donnerait sa vie à Jésus. Il l’a dit, ne connaissant pas le Seigneur avec beaucoup de mépris.

 

  1. La conversion de mon mari

Bien-aimé, il est écrit dans la parole de Dieu qu’il n’y aura point de femme stérile en Israël, c’est-à-dire dans la maison de Dieu. C’est ainsi qu’Anne, la mère du Prophète Samuel pouvait dire que sept fois la femme stérile enfantera dans son cantique à Dieu. Il est aussi écrit dans Exode 23 :26 qu’il n’y aura point dans ton pays ni femme stérile ni femme qui avorte. Cela pour dire que nous aurons du succès en toute chose si et seulement si les fondements, les liens sont brisés. J’étais issue d’une famille dans laquelle la stérilité battait son plein. Toutes les femmes se mariaient mais aucune d’elle n’arrivait à avoir des enfants. C’était la réponse que j’attendais de mon époux. Si je n’avais pas été patiente, je n’aurais pas entendu cela. Il a donc choisi lui-même un jour afin de me conduire à l’hôpital. Une fois à la maternité, le jour choisi par mon époux, il m’a présenté à la sage-femme comme étant sa servante. Il a dit à la sage-femme que j’affirmais que mon Dieu lui m’avait dit que je portais une grossesse. Et que, si tel était le cas, il me renverrait de la maison. Cette dernière ne sachant pas que c’était le contraire m’a copieusement engueulée. Elle me disait ceci ; tes parents ont souffert pour te trouver du travail et toi tout ce que tu leur envoies comme récompense, c’est une grossesse !

Après les examens, il s’est avéré que je portais effectivement une grossesse. La sage-femme m’a alors dit ceci : « madame, je suis désolée pour vous. Votre patron va vous renvoyer car vous portez une grossesse ». Je veux dire à tous ceux qui me lisent actuellement que comme moi, ils enfanteront dans tous les domaines de leur vie. La sage-femme est sortie l’annoncer à mon prétendu patron (selon la présentation faite par lui). Elle lui a donc dit ceci : « monsieur, votre servante est effectivement enceinte ». Il a oublié la présentation qu’il avait faite. Il s’est jeté sur la sage-femme, l’a prise dans ses bras et l’a soulevée. Elle s’est donc écriée : « s’il vous plait monsieur, reposez-moi par terre. Je n’ai nullement dit que votre servante ne portait pas une grossesse ! Je vous dit plutôt qu’elle attend un enfant ».  Il tenait en main les certificats des divers examens que nous avions faits par le passé et qui me déclarait stérile pour toujours. La médecine l’avait annoncée ainsi, mais Christ avait déjà effacé toutes ces ordonnances qui me condamnaient à la croix de Golgotha il y a plus de 2000 ans. Elle les a reconnus et a dit qu’elle ne pouvait croire que je portais une grossesse. Elle faisait partie de ceux qui m’avaient examiné par le passé. Elle m’a donc demandé depuis combien de temps je portais cette grossesse. Je lui ai répondu que je n’en savais rien. Et que, c’est l’Eternel qui me l’avait dit par révélation. Elle m’a alors conduit dans une chambre pour me faire subir des examens afin de voir la durée qu’avait faite cette grossesse. C’est après ces examens que nous avons su que cette grossesse avait environ 4 mois. L’échographie a révélé que l’enfant n’était soutenu par aucun organe humain. Et que c’était une main blanche qui le soutenait. L’enfant était couché dans une main. Le médecin qui m’examinait a eu peur lorsqu’il a vu cela. Il est sorti de la salle et est allé appeler ses collègues. Ils sont venus et tous étaient surpris par cela. Ils m’ont alors demandé comment je me portais. J’ai répondu : ‘’à merveilles’’. Ils m’ont alors dit qu’il y avait une main dans mon ventre. Je leur ai demandé ce que faisait cette main. Ils m’ont dit qu’elle tenait l’enfant. J’ai alors dit que c’est la main de l’Eternel des armées.

A la sortie de l’hôpital, je me dépêchais pour ne pas que nous marchions cotes à cotes. C’est ce qu’il avait voulu. A ma grande surprise, une fois au niveau des escaliers, il m’interpelle à nouveau. Il me demandait pourquoi je marchais aussi vite. Je me suis arrêtée et me suis tournée vers lui. Tout le monde avait les regards portés sur moi.  J’ai demandé tonton, qu’ai-je encore fait ?il m’a dit tu marches très rapidement, ne sais tu pas que tu vas faire du mal à la grossesse ? Dieu a soutenu cette grossesse pendant neuf mois, jusqu’à l’accouchement.

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Que le Seigneur vous bénisse abondamment !

 

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