Ce témoignage est celui de Mme Ouattara, ex-musulmane, qui a eu la grâce d’être visitée par le Seigneur Jésus Christ et qui a pu avoir 15 enfants sans trompe. Le Seigneur s’est aussi servi d’elle pour opérer trois cas de résurrection. Ce témoignage est en 4 parties à lire absolument !
C’est ainsi que mon époux s’est donné au Seigneur Jésus. Nous sommes demeurés dans la prière pendant tout le temps qu’a duré la grossesse jusqu’à l’accouchement. Un mardi soir, pendant le culte, Dieu me dit que le jeudi qui suivait était le jour de mon accouchement. Après le culte, je suis rentrée à la maison. Mon époux, revenu du travail (il est gendarme de formation), me demanda comment s’était passé le culte. Je lui ai répondu « bien » par la grâce de Dieu. J’en ai profité pour lui annoncer ce que Dieu m’avait dit. Il a donc demandé une permission au travail pour jeudi afin d’être avec moi. Chose qui lui a été accordée. Le jour j, mon époux me suivait partout dans la maison. Il me demandait si je me portais bien. Je l’ai rassuré et j’ai dit ‘’tout va bien’’. Nous étions tous deux dans la cuisine entrain de faire le petit déjeuner lorsque j’ai voulu m’asseoir sur un tabouret. Mon époux m’a aidée à le faire. Lorsque j’ai pri appuis sur son bras, aussitôt j’ai poussé et l’enfant est sorti. Je précise que cela s’est fait sans douleur, sans les détails que m’avaient donnés les médecins comme signes précurseurs. C’était un garçon. Il est sorti appeler une voisine pour nous aider et tous les trois, nous sommes allés à la maternité. Ensuite, il est allé en famille annoncer la bonne nouvelle. Il a dit ceci : « ma femme vient d’accoucher. Elle a fait un garçon, cela s’est produit sous mes yeux, en ma présence». Il est devenu témoin de Christ.
Ma mère l’a donc suivi à la maternité pour venir voir ‘’celle qu’on avait enterrée’’. Une fois à la maternité, dans la salle où j’étais gardée, ma mère qui s’appelait‘’Hadja’’ car ayant fait la Mecque a jeté son voile qui l’a recouvrait et m’a dit ceci : « à partir de ce jour, ton Dieu devient mon Dieu ». C’est ainsi que ma mère se donna au Seigneur Jésus. Dieu connaissait les intentions du cœur des uns et des autres. Qu’est-ce qu’ils auraient bien dit si l’accouchement n’avait pas eu lieu en présence de mon époux. Qu’est-ce que lui-même (mon époux) aurait bien pu dire en lui-même. Est-ce que cet enfant est vraiment sorti des entrailles de ma femme, Dieu le savait, raison pour laquelle il a permis que cela se produise devant mon époux. Nous sommes devenus maintenant trois chrétiens dans la famille. Le nom de l’enfant, le premier est Ouattara le juste vivra par sa foi, tel est son nom. Dieu a eu pitié de ma mère qui allait tout droit en enfer et l’a arraché du chemin de la mort. C’est en cela que cette parole qui dit que nous et notre famille serviront le Seigneur est vraie. Nous étions donc trois personnes dans la famille avec l’enfant à continuer le combat. Et nous avons continué dans la prière. Le reste des membres de ma famille a dit à mon époux que si notre Dieu était si puissant, qu’il me donne d’autres enfants et l’on verra. Ils ont lancé le défi pensant que c’était à nous qu’ils l’avaient lancé. Or c’était à Dieu lui-même qu’ils l’avaient lancé. Dieu n’a pas opéré le miracle dans ma vie en me donnant des trompes. O que non ! Je n’avais point de trompe et je ne connaissais point de menstrues chaque mois. Ce pourquoi j’avais besoin de ces choses c’est-à-dire avoir des trompes et des menstrues, Dieu l’a fait sans me donner ces choses dites indispensables pour pouvoir enfanter. Il est allé à l’essentiel. Notre Dieu va toujours à l’essentiel. Le premier enfant a grandi et a commencé à marcher.
Un jour pendant que j’étais comme à mes habitudes en plein dans l’œuvre du Seigneur, dans l’évangélisation, Dieu va m’arrêter et me donner une révélation. Il me dit ma fille tu portes une grossesse. Après l’évangélisation, je l’ai annoncée à mon époux une fois à la maison. Nous nous sommes rendus à l’hôpital pour confirmation. Et cela a été confirmé. Il est allé en famille l’annoncé à tous. Il leur a dit ceci : « vous avez dit que si notre Dieu était capable, qu’il accorde à mon épouse à nouveau des enfants. Je suis venu vous annoncer qu’elle attend à nouveau un enfant. ». Ils ont répondu en disant : « attends qu’elle accouche d’abord et on verra. Qu’est-ce qui nous dit que c’est un enfant qu’elle porte en son sein ? ». Ma mère après avoir accepté l’évangile a aussi été renié. Dieu a encore soutenu cette deuxième grossesse par sa main puissante. J’ai accouché une fois de plus à la maison et cela en présence de mon époux et ma mère qui était là avec nous. Par la grâce de Dieu, j’ai fait un triplé. C’était deux filles et un garçon. Mon époux est allé informer les parents. Dès qu’ils ont reçu le témoignage, plusieurs ont cru en Jésus et se sont donnés à lui. Progressivement, le Seigneur a fait pénétrer l’évangile dans ma famille. La mienne comme celle de mon époux. Plusieurs se sont donnés à Jésus, jusqu’en 1992. Nous nous sommes assis et avons pu contempler les grâces du Seigneur. Nous étions à notre 15ème enfant. Sans trompes, ni menstrues chaque mois, nous avons eu 15 enfants. C’est une grâce du seigneur. Nous avons eu 3 triplés.
L’année dans laquelle nous avons eu notre neuvième enfant, l’iman de la mosquée que nous fréquentions à l’époque où nous étions musulmans s’est donné au Seigneur. Il a envoyé vers moi à cette période des personnes m’appeler. Une fois chez lui, il m’a fait cette révélation : « on a essayé de te tuer. On a tout essayé sans succès. Tu as toujours échappé à nos attaques. On a même envoyé vers toi des personnes avec pour mission de te faire avaler un produit appelé Nancigui (produit qui sert dans le milieu musulman à faire des incantations) associé à la bille de caïman. Là encore ce fut un échec ». Effectivement, ces hommes ont accompli cette recommandation de l’imam.
Un jour, ils m’ont trouvé au grand marché d’Adjamé et m’ont coincé dans un lieu isolé. Ils m’ont serré très fort la gorge à tel enseigne que je ne pouvais respirer. Pour pouvoir respirer, j’étais alors obligé d’ouvrir la bouche. Ils ont alors renversé ce mélange de produit dans ma bouche et me l’ont fait avaler. Il faut dire que j’ai longtemps souffert de cela. J’ai perdu énormément de sang. Et j’ai très souffert. Un jour le Seigneur m’a fait savoir qu’il avait converti ce produit toxique injecté dans mon organisme par mes adversaires en vitamines. A partir de ce jour le mal a cessé. L’imam a reconnu ces faits. Il m’a dit que depuis lors, ils attendaient tous ma mort ou ma décomposition. Mais c’est le contraire qui s’est produit. Et bien plus, j’ai même des choses que je n’avais pas avant cet évènement qui sont arrivées dans ma vie. Cela a donc dépassé son entendement. Il m’a donc demandé combien cela coutait de devenir chrétien. Je lui ai répondu que cela était gratuit. Et à moi d’ajouter ceci : « pourquoi donc demandes-tu tout cela ? ». Il m’a dit que c’est afin de donner sa vie à Jésus. Le dimanche qui a suivi, il est venu au culte avec ses trois épouses. Et tous ont accepté Jésus comme Seigneur et Sauveur personnel. Dieu avait besoin de lui, il voulait le sauver. Il a donc utilisé tous ces évènements pour l’attirer à lui. C’est en 1992, que moi et mon époux avons demandé à Dieu dans la prière de fermer mes entrailles afin que je n’enfante plus. Nous nous sommes donc arrêtés à ces 15 enfants. Il y avait 8 filles et 7 garçons.
5/ GARDEZ LA FOI FACE AUX EPREUVES DANS LA MARCHE CHRETIENNE
Il se trouve que dans ma famille, il y a un lien très fort. Le 13ème enfant de la famille devait mourir. Il ne pouvait pas vivre. Nous, nous en avons eu 15. Une année, nous avons organisé une croisade d’évangélisation à Tengrela. Dans la même période, notre 13ème enfant est tombé gravement malade. Jusqu’à la veille de notre départ, il souffrait toujours. Les hommes de Dieu qui étaient venu me chercher ont vu l’enfant dans un état très grave. Ils ont donc suggéré que l’on reporte le programme pour cela. J’ai dit avec beaucoup de respect aux serviteurs de Dieu qu’il n’était pas question d’agir ainsi. Je savais une seule chose. Dieu veut qu’on s’occupe de ses affaires sur terres et lui il se chargera en retour des nôtres. Il n’avait nullement besoin de notre présence physique pour guérir cet enfant. Ils ont donc prié pour l’enfant et nous sommes partis. Deux jours après notre arrivée à Tengrela, en pleine activité, Dieu m’a annoncé que l’enfant était mort. Lorsqu’il me l’annonçait, il dit : « ton fils que tu as laissé à la maison s’est endormi ». Il n’a nullement dit qu’il était mort. J’ai donc considéré cela comme une grâce, une bonne nouvelle du Seigneur. Je l’ai ensuite annoncé aux hommes de Dieu avec lesquels j’étais arrivé à Tengrela pour la croisade. L’un d’entre eux m’a demandé ce que signifiait ‘’l’enfant s’est endormi’’. J’ai alors dit que pour nous (selon les hommes) il était mort mais que Dieu ne me l’avait pas annoncé ainsi.
Mais qu’il m’a plutôt dit que l’enfant dormait. Ils ont donc jugé bon que l’on arrête le travail pour retourner à Abidjan. Je leur ai dit que nous n’en avions que pour trois semaines et qu’il fallait mieux continuer l’œuvre. Deux semaines après notre arrivée, une délégation composée des anciens et diacres de l’église est arrivée à Tengrela pour nous annoncer le décès de l’enfant. Lorsqu’ils sont arrivés, ils se sont mis à chercher des passages bibliques dans le but de me consoler. J’ai alors coupé court en leur disant que s’il s’agissait pour eux de m’annoncer le décès de mon fils, cela était peine perdue. Et que, Dieu nous l’avais déjà révélé. C’est alors que les hommes de Dieu avec qui j’étais arrivé à Tengrela ont donc dit : « donc ce qu’elle nous avait dit était vrai ? ». Et aux nouveaux venus de répondre par l’affirmative en leur donnant plus de détails. Nous leur avons donc dit de retourner sur Abidjan et que nous allions poursuivre le travail. Dieu ne m’a pas dit que l’enfant était mort. Il a plutôt dit qu’il dormait. Et c’est cette parole du Seigneur qui m’importait. Le reste n’avait aucune attention ni importance de ma part. J’ai même affirmé qu’il jouait beaucoup d’ordinaire et donc que c’était pour lui un temps de repos. Nous avons donc poursuivi notre programme et le corps de l’enfant est resté à la morgue. Il s’est trouvé que mon époux a voulu retirer le corps de la morgue pour l’enterré, car c’était un enfant et pour nous les ressortissants du nord de la Côte d’Ivoire, nous n’avons pas pour habitudes de garder longtemps les corps à la morgue comme c’est le cas chez d’autres peuples de Côte d’Ivoire. Cela pour éviter de gaspiller inutilement de l’argent dans les frais que requiert la garde d’un corps à la morgue etc…
Ils avaient donc décidé d’enterrer le corps un vendredi. Nous avons fini le programme un mercredi. Nous avons donc jugé bon de quitter Tengrela le jeudi matin de bonne heure. Il se trouve que partir de Tengrela pour Abidjan requiert un jour de trajet. C’est dire que si nous quittions Tengrela Jeudi à 8h00, nous arriverons vendredi à 8h00. C’est ce qui s’est passé. Nous sommes arrivés le lendemain vendredi matin. Nous sommes tombés à pique dans les funérailles de l’enfant. A notre arrivée, j’ai été accueillie avec des pleurs par des frères dans la foi, des hommes de peu de foi. Malgré tout ce que nous avions dit, ils ne croyaient pas. Je les ai donc encouragés et exhortés. Je les fortifiais en disant : « bénissez le seigneur, nous ne sommes pas en deuil. Dieu nous demande de le louer en toutes choses, en toutes circonstances. Faisons ainsi. L’enfant n’est pas mort mais il dort selon ce que Dieu m’avait dit ». Louez donc Dieu et ne cédez pas à la séduction. Si nous nous mettons dans un état de deuil, Dieu ne fera plus rien pour nous. Moi j’avais déjà refusé la mort dans mon esprit et donc je l’ai encourageais à en faire de même. Pour moi, il dormait, un point, un trait. J’ai demandé le programme et on me l’a donné. J’ai donc fait la proposition à mon époux de laisser tomber le corbillard et le cercueil pour la levée de corps. Il a été dans un premier temps opposé à cause de l’argent qu’il perdrait en agissant ainsi puis il a accepté. Je lui ai dit que Dieu allait lui rembourser cela. Et qu’il n’y aurait point de trou parmi les quinze enfants, du moins pour l’instant. Nous sommes donc allés chercher dans une voiture personnelle notre cadeau. C’est ainsi que je l’ai qualifié. Nous sommes arrivés à la maison. Les amis de classe, les enseignants de l’enfant étaient tous présents. Et ils pleuraient. Nous avons déposé le corps dans la chambre. J’ai dit à mon époux de rester au salon à encourager les uns et les autres à rendre gloire à Dieu plutôt que de céder aux pleurs. On lui avait déjà injecté le formol à la morgue. Son cas était donc scellé devant les hommes et la science. La science a parlé. Mais Dieu dit qu’il dort et qu’il n’était pas mort. De Dieu et de la médecine, qui dit vrai ?
J’ai donc parlé à Dieu lorsque j’étais dans la chambre avec le petit. J’ai dit : « Père, tu m’as dit qu’il dort. J’ai cru en ta parole. Il est dit que les 13 ème enfants dans notre famille ne doivent point vivre. Si tel est le cas pour les autres, je refuse que ce soit mon cas, à moi ta servante. Cet enfant doit te servir. Il n’a encore fait aucune œuvre pour toi. Je veux qu’il s’en aille mais ayant l’assurance d’avoir une très bonne place auprès de toi au ciel. Or il n’a encore rien fait qui puisse lui garantir cela. Tu m’as dit qu’il dormait. Cela fait maintenant trois semaines que cela dure. Il a assez duré dans son sommeil. Nous sommes allés pour ton œuvre, et nous voici de retour. Réveille-le d’entre les morts, et glorifies ton nom Père ! ». On ne peut que communiquer ce que l’on a en nous aux autres. Si nous avons en nous l’esprit de vie, c’est cela que nous pouvons communiquer aux autres. Je me suis dit en moi-même ceci : « j’ai lu dans ta parole qu’Elisée ton prophète a prié pour le fils de la femme sunamite et il est revenu à la vie. Une femme veuve partait enterré son fils unique, elle t’a croisé en chemin et tu as fait arrêté le cercueil et tu l’as ramené à toi. Moi également, j’ai fait une rencontre avec toi et voici mon fils est mort. Comme tu n’as pas changé, ramène mon fils également à la vie mon Dieu ». Je me suis couché sur lui. Visage contre visage, corps contre corps. Je lui ai fait du corps à corps et je continuais à louer le Seigneur pendant que j’étais couché sur lui.
L’odeur du formol était suffocante et je ne pouvais la supporter davantage. Je me suis donc levé et j’ai fait face au mur comme le roi Ezéchias et j’ai continué à invoquer et glorifier Dieu. Pendant que je faisais ainsi, l’enfant a éternué. Alléluia ! Gloire à Jésus ! Il est le Dieu de vie et de miracles. C’est pourquoi je suis d’accord avec la prédication de tout à l’heure qui disait que tout ce qui était en nous reprendra vie. Je l’ai regardé et voici il avait les yeux fermé et disait : « merci Seigneur, merci Seigneur ». J’ai alors dit : « Seigneur, lorsque tu as ramené Lazare à la vie, il était toujours lié par les bandes. Tu as alors dit de le délier et de le renvoyer libre. Voici, il a éternué et il parle. Mais il a toujours les yeux fermés.
Certainement qu’il est lié quelque part. Délies-le donc. Père, achèves ce que tu as commencé. J’ai continué à louer Dieu. Chantant des cantiques à la gloire de son beau et grand nom. De ce qu’il avait fait pour moi et qu’il continue de faire encore dans ma vie. Et à un moment donné, il s’est levé. Puis il s’est tenu debout devant moi. C’est à ce moment que je lui ai tendu la main et l’ai pris dans mes bras. J’ai alors donné un cantique que nous avons, lui et moi chanté. Nous avons rendu gloire à son nom. Je lui ai ensuite dit que nous allions sortir mais qu’il y avait beaucoup d’hommes au salon qui s’inquiétaient de son sommeil prolongé qui avait duré trois semaines. Et qu’ils étaient tous venus afin de le voir se réveiller. Nous allons sortir et tu vas les saluer, ai-je dit. Tel que je suis entrée avec le sourire, tel je suis sorti de la chambre avec le même sourire. Il y a une personne dans la foule qui a lancé ceci : « que fabrique-t-elle encore ? Qu’elle nous remette le corps afin qu’on aille le mettre en terre. ». J’ai dit en moi-même ‘’moi mon cadeau que Dieu m’a donné vous allez le mettre en terre !’’. Je lui ai ensuite dit de ne pas s’en faire. J’ai alors quitté la porte et ai demandé à mon fils de sortir. Celle qui avait lancé cette parole était la première a barré l’accès de la porte de sortie aux autres qui était là. La panique et la débandade ont pris la maison. Tous ceux qui étaient venu nous assister, pleurer avec nous ont pris la fuite. Ils couraient dans tous les sens. Et même ceux qui venaient pour la même raison prenaient aussitôt la fuite quand ils apprenaient la raison de la débandade des autres.
Les funérailles venaient ainsi d’être annulées. Notre Seigneur Jésus est vivant. C’est parce qu’il est vivant qu’il peut ressusciter les morts, c’est parce qu’il est vivant qu’il peut communiquer la vie. Alléluia ! Gloire à Jésus ! L’enfant se porte à ce jour (au moment du témoignage) très bien et il a même présenté les examens du BTS. Le diable et ses agents sur terre venaient ainsi d’échouer. Tant que Jésus sera vivant, nous aurons toujours la victoire. Ils échoueront toujours. C’est pourquoi il est dit « tes ennemis verront la gloire de Dieu se manifester dans ta vie sous leurs yeux. ». Certainement qu’ils ont juré que tu n’aura point de part dans le mariage. Mais ils viendront eux-mêmes assister à ton mariage. Ceux qui ont juré que tu n’auras point d’enfant te verront avoir des enfants par la grâce de Jésus.
L’ennemi a alors continué ses œuvres et ses attaques contre ma famille. C’est ainsi qu’un jour il y a eu le déversement des déchets toxiques dans notre pays. Mon époux, gendarme de formation a été requis avec quelques éléments pour garder un des sites de déversements afin d’éviter que les populations ne s’en approchent et ne soient contaminées. Après cela, il a commencé à se plaindre de douleur à la tête. Il a commencé plus tard à saigner des narines. Un jour, pendant qu’il s’apprêtait à se rendre au travail, il m’a dit avoir mal à la tête et de fortes migraines. J’ai donc dit que je le soutiendrai en prière à la maison et que celui qui lui avait donné ce travail c’est-à-dire Jésus ne le laissera pas ainsi malade sans pouvoir lui donner la santé pour pouvoir exercer ce métier qu’il lui avait donné. C’est donc ainsi qu’il s’est rendu au travail. Peu de temps après son arrivée sur son lieu de service, il s’est affaissé. Une fois à l’hôpital, il est décédé. ‘’Tu m’as dit à tout à l’heure et non adieu. Tu as dit que tu allais au travail et que tu reviendrais et non que tu allais pour ne plus revenir’’. C’est ainsi que ses supérieurs m’ont fait appel. Je suis arrivée sur les lieux, au CHU de cocody. Le capitaine et le commissaire se renvoyaient chacun la balle. Personne n’était assez fort pour m’annoncer la nouvelle. J’ai donc rappelé qu’il s’agissait de mon époux. Est-il mort ? Ai-je demandé. Ils ont répondu par l’affirmative. Ok, il n’y a pas de problème, ce n’est pas un secret pour moi. J’ai donc demandé où se trouvait son corps. Je me suis rendue là où se trouvait son corps et j’ai dit ceci : « tonton, quand tu allais au travail, tu m’as dit à tout à l’heure. Tu ne m’as pas dit que tu venais à la morgue.
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